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1. how you like that? [+18]
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P. Jewell O'Doherty
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P. Jewell O'Doherty



how you like that?
Le sexe ça n’a plu la même saveur quand on ne contrôle plus avec qui on le pratique, à force de partenaires plus écœurants les uns que les autres, que ça soit à cause de leurs pratiques ou de la manière dont ils se comportent. Des animaux, des porcs pour la plupart, incapables de se comporter comme des êtres civilisés, pour qui leur simple plaisir est la seule valeur de l’acte en lui-même, n’ont aucun intérêt de prendre en considération la personne qu’ils ont en face d’eux. Je ne suis qu’un jouet, celui qui coûte un peu cher, mais qu’ils peuvent briser dans tous les sens et remplacer quand je ne leur suis plus d’aucune utilité. Le monde est infâme lorsqu’on met le nez dans ses vices, malheureusement même les choses qui savaient m’exciter ne sont plus, ne paraissent plus avoir la saveur d’antan ; quand tout était simple, pur, agréable.  
Alors bien sûr, avec Félix ça ne change pas vraiment, il ne s’enquiert pas plus que ça de ce qui peut bien m’arriver, trouve satisfaction dans le fait de me faire céder, mais ça n’a pas le même goût. Quand je suis avec lui, je ne travaille pas vraiment, c’est différent, c’est moins abrupte – même s’il n’est pas tendre – je me sens un tant soit peu comprise. Je ne sais pas si c’est ça vient de tous mes déboires que j’ai pu lui dévoiler, le fait qu’il m’ait écouté quand bien même il n’en avait pas la moindre chose à faire. Puis ça ne me déplaît pas de devoir me résoudre à paraître résignée, quand je sais qu’il ne prendra pas plus que ce que je veux bien lui offrir, qu’il me sauve tout de même de pas mal de malheurs en me permettant de rester ici.
N’importe quel mec tordu de cette foutue ville aurait profité de moi pendant ces moments où j’étais inconsciente dans son canapé, incapable d’aligner deux mots, mais il n’en est rien. Je le connais assez pour savoir qu’il ne m’en voudrait pas si on ne va pas jusqu’au bout ce soir, mais je lui ai promis ; et puis je n’ai que ça. Je ne sais même pas comment je ferais pour la prochaine fois, car si je ne suis pas capable de lui apporter ce que je lui dois aujourd’hui, il va sans dire que j’ai intérêt à travailler d’arrache-pied, quoi que cela puisse vouloir dire.

Il sait poser les questions qui retournent le cœur, dans le bon comme mauvais sens et il n’est pas moins à l’aise avec sa langue ou avec ses doigts, m’arrache un petit gémissement alors qu’il entre en moi, les dents accrochées à l’un de mes tétons. La morsure se change en caresse, me laisse pendant quelque temps l’impression de pouvoir aspirer à quelque chose de mieux que ce que j’ai pu vivre ces derniers mois, mais quand son visage s’approche de mon visage, les mots ne me font plus vraiment sourire. Une moue se colle à mon visage, défigurée par la frustration d’avoir perdu ce qui m’était cher, car je n’avais que ça et pourtant, maintenant je n’ai plus rien.

— Tous les jours. Ce n’est pas l’audience qui me faisait vibrer, c’était la scène, l’impression de pouvoir voler. J’ai du mal à retenir un petit hoquet quand il s’annonce un peu plus aventurier dans mon intimité, c’est qu’il a toujours su s’y prendre. Aujourd’hui je n’ai plus d’aile.

Juste cette stupide voix qui m’a fait connaître, celle-là même que je dois pousser dans les aigües dès que j’intéresse quelqu’un, parce que si je ne lui donne pas l’impression qu’il est bon, il pensera que cela vient de moi. Avec Félix, ce genre de choses n’existent pas, parce que je n’ai pas besoin de faire semblant, ma voix commence doucement à résonner dans l’appartement, le souffle court, les pensées embrouillées. Ma main agrippe la sienne, tente de le pousser aux endroits qui me font délirer, parce que si j’ai bien compris quelque chose ce soir, c’est qu’il ne me laissera pas m’en sortir aussi facilement, qu’il veut me faire languir, hurler de désespoir pour qu’il me fasse ressentir quelque chose de vrai ; ce que je n’ai pas ressenti depuis bien trop longtemps.
(c) chaton de la lune



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Félix Jørgensen
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Félix Jørgensen




Tu ne t’attendais pas à cette réponse quand tu lui as posé la question. Tu attendais le vice, la luxure, le plaisir coupable que personne n’ose avouer à quiconque. Les mots qui étaient sortis de sa bouche eux n’avaient rien à voir avec tout ça… Mais te donner bien des idées pour encore plus l’avoir autour de ton petit doigt… Et si tes doigts en son intérieur n’ont aucune pitié pour elle, les baisers sur son visage alors que la blonde te parle de son passé sont bien plus tendres.
Il y a un équilibre à avoir entre la violence et la douceur dans ce genre de situation… La violence provoque l’envie, creuse le ventre et entretient le désir malsain. La douceur, elle, argumente le tout, rassure la personne, lui permet de s’accrocher à un orgasme auquel elle ne s’attendait pas. Tu ne fais pas ça par dépit, il n’y a pas que le brut qui t’intéresse, le peau à peau et les lèvres de velours sont tout autant à ton goût que les ongles qui déchirent ton dos.

« Tu as toujours tes ailes. Tu ne sais juste plus voler. » lui dis-tu, encore occupé à ravager sa mâchoire et son cou avec tes lèvres.

La vérité c’est que Jewell, c’est ton petit plaisir coupable. Tu auras beau le contredire autant de fois que tu veux à n’importe qui, tu sais également ô combien elle te met hors de toi. La drogue n’aidant jamais quand vous êtes ensemble, tu as trop de fois vu l’effet qu’elle a sur toi, ce que son corps au-dessus du tiens provoque ; ce que sa voix déclenche en toi lorsqu’elle te laisse la manipuler. Ton érection n’en démord pas, l’envie difficilement surmontable de la posséder, de la détruire à coup de reins.

Et quand enfin tes doigts décident de lui laisser un peu de répit, quand ils se retirent avec tant de facilité, tu ne peux retenir un léger grognement de satisfaction contre sa tempe. « Je n’ai même pas besoin de regarder pour voir à quel point t’es trempée, Jewell. » lui souffles-tu.

Tu te relèves toujours assis en face d’elle, remarque le silence qui s’installe dans la pièce, ramène ta main à ta bouche pour y nettoyer le désordre qu’elle a provoqué. L’idée de pouvoir te glisser en elle aussi facilement que tes doigts te torture soudainement.

Mais tu l’avais prévu.
Tu savais que ça serait tout aussi dur pour toi.

Alors tu te saisis de ses cuisses, attrape fermement cette chair avant de ramener ses jambes entre elles avant de poser leurs talons croisés sur ton épaule gauche, tendant ses dernières contre ton torse dénudé. Ta verge privée de l’intimité de la blonde par le seul vêtement qui vous sépare viendra quand même se frotter à elle, faisant à nouveau grimper l’impatience que tu ressens déjà ; l’envie de la voir se tordre pour toi. « Avec quelle facilité je pourrais me glisser en toi pour te baiser, là tout de suite. »

À nouveau tes mains empoignent ses cuisses.
« Tout ce que je pourrais te faire, pour penser à autre chose. »




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P. Jewell O'Doherty
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P. Jewell O'Doherty



how you like that?
C’est presque risible de se dire que Félix est un des rares êtres vivants sur cette planète, à n’avoir aucune vergogne ou la moindre sensibilité, qui arrive pourtant à me faire décompresser, me donner l’impression que la vie n’est pas simplement faite d’aigreur ; que le sexe peut encore avoir du bon. Alors oui, je ne suis peut-être pas la mieux placée pour en parler, parce qu'à chaque fois que je suis avec lui, je ne suis pas complètement moi-même, la poudre donne des ailes, celles qui m'ont été volées par le passé. Le grand brun qui est en train de me faire plaisir tente de me dire que je ne sais juste plus les utiliser, mais ce serait comme jeter du plomb dans l'océan, ça finira toujours indéniablement par couler. Un léger grognement remplace bien vite les petits couinements lorsqu’il se décide à me laisser pantelante, sans me donner satisfaction et je le maudis de tout mon être de ne pas avoir terminé le travail. Pourtant je sais comment il est.
Rude est l’exercice de penser sobrement quand les vapeurs de la poudreuse et ses doigts habiles font effet, alors évidemment, même si j’ai voulu jouer le jeu, ne pas céder sur l’instant pour l’aider de son côté, il me rappelle que je suis en train de perdre, qu’il a déjà réussi à avoir raison de mon intimité ; qu’il ne lui faudra plus grand-chose pour faire tomber mes derniers remparts. Il faut dire qu’il a toujours eu un talent certain pour me faire lever les yeux au ciel et en redemander, même si la plupart du temps nos échanges sont bien moins bavards, de mon côté en tout cas, étant donné que l’attrait qu’il porte à mes lèvres n’a rien avoir avec la conversation.

— Facile à dire pour toi, mais depuis le temps, tu devrais savoir que je ne m’en cache pas en ta présence, Félix.

C'est quelque chose que j'entends souvent, mais jamais avec mon prénom, toujours dans l’optique de faire mousser leur égo et détruire le mien par la même occasion, mais avec lui ça n’a pas la même saveur. Je ne sais pas quand est-ce que je me suis réellement mise à apprécier ce genre de moments avec lui, parce qu’ils ont – depuis presque le début – toujours régi nos rencontres. Alors oui, il sait y faire et ses remarques ne me laissent pas ce goût amer, simplement celui de la luxure passagère, la douceur du coton, ce genre de plaisir qu’on oublie avec les mauvaises expériences qui tombent sur notre route.
Malheureusement pour moi, il n’a pas fini de me faire languir, de m’arroser de son romantisme cru, de tenter de m’émousser assez pour que je le réclame. Salopard, tu veux vraiment m’entendre te supplier. Il se relève un peu, guide les doigts qui m’ont touchée à sa bouche alors que je tente de reprendre mon souffle. Son regard change légèrement, ses mains agrippent sans ménagement mes cuisses, ramènent mes jambes en hauteur, les talons collés à quelques centimètres de son visage, son bassin brûlant tout près de l’intimité dont il parlait plus tôt.
Les mots sortent de sa bouche, salement, sans aucune retenue, compassion, ça n’a vraiment pas la même saveur avec lui ; adieu les papillons, le souffle est coupé. C’est son petit jeu d’attendre que je demande pour être servie, ça fait son effet d’une certaine manière. S’il veut que je réclame, il a gagné, quémander une échappatoire éphémère, c’est ce pour quoi je suis venue à la base. Ma jambe passe au-dessus de son visage, vient planter mes talons dans ses épaules pour le ramener un peu plus près.

— Baise-moi, maintenant.
(c) chaton de la lune



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Félix Jørgensen
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Félix Jørgensen




Ce genre de victoire revient toujours à celui qui aura le plus de patience ; lorsque l’on grandit, le jeu du chat de la souris n’a plus les mêmes finalités… Tout le monde s’y prête bien volontier avec toi, la blonde plus que les autres comme à son habitude. Elle finit toujours par planter ses pupilles dans les tiennes, à essayer de se placer à ton niveau, mais elle a encore trop de retenues pour y prétendre.

Elle ronronne Jewell. Elle se penche aux paroles et frotte son pelage à votre égo,
espérant toucher ce qu’il faut pour faire plier à son tour.

Tu as chaud Félix.
Tu brûles d’envie de la posséder.

Mais les mots ne te conviennent pas.

Tu déposes un baiser sur son talon avant que celui-ci ne se te passe au-dessus de ta tête en faisant danser une cuisse, spectacle dont tu ne perds pas une miette. Elle te ramène à elle et tu plantes tes doigts plus forts dans sa chair par l’excitation. Ces mêmes mots sont jetés, balancés, comme un cri dans la nuit. Ils ne seront pas entendus.

Ton sourire abîmé s’étire, tu te laisse bien volontiers pousser jusqu’à venir à elle, bloqué par la simple pression de ses jambes qui demain n’arriveront pas à la maintenir debout. Tu n’as pas accès à ses lèvres, une triste nouvelle, tu ne te prives cependant pas pour glisser une main à son visage -cette même main qui était en elle il n’y pas si longtemps que ça- pour caresser doucement ces lippes, avant d’emprisonner son cou dans un tour parfait.

« C’est la traînée qui donne des ordres maintenant ? » lui dis-tu en enfonçant sa nuque dans ton canapé. « Je crois que t’as oublié quelque chose, Jewell. »

Ton autre main se déplace jusqu’à ta bouche, tu la lèche allègrement avant de te saisir de ta verge, dépose ta salive sur celle-ci pour ensuite l’introduire entre la peau de la blonde et sa lingerie. Non, tu ne lui donnes pas, pas tout de suite.

« Quelque chose de très très important. »

Ta bite glisse sur son entrejambe, ta poitrine se gonfle et souffle de plaisir. Tu continues, agresse cette perle qui ne demande qu’à exploser, exerce une pression que tu sais sera bien trop compliqué pour toi à supporter si tu t’y prête trop longtemps.

Doucement, lentement,
sa culotte se soulève avant de reprendre place,
encore et encore.

Et tu lui offre à nouveau ce sourire carnassier,
celui qui dévore la victoire.

« Tu vas demander poliement pour te faire baiser, et tu vas y mettre les formules. Tu sais pourtant comment ça fonctionne. Plus tu es gentille, au mieux tu te feras prendre. »




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P. Jewell O'Doherty
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P. Jewell O'Doherty



how you like that?
C’est rare aujourd’hui d’apprécier la tension qui émane d’un corps au-dessus du mien, d’être électrisée par l’instant présent. Alors oui, ça pourrait probablement être mieux, peut-être que quelques bougies et un canapé plus solide ne feraient pas de mal, mais ce n’est plus un luxe que je peux me permettre de quémander. Plus proche que jamais d’assouvir ce plaisir bestial que je ne connais presque plus que sous le prisme de l’aigreur, le brun décide de me laisser sur ma faim ; comme toujours, ça n’est pas tout à fait à son goût.
Bon sang, ce que je donnerais pour qu’il finisse par satisfaire l’appétit intime qu’il est un des rares à me provoquer, mais ça n’est pas assez. Demander ne suffit pas, ordonner encore moins – et il me le fait comprendre à sa manière – le souffle court, il veut que je supplie, que j’irrite un peu plus mes genoux, lui donner l’impression que c’est la seule chose dont je puisse avoir besoin. Salopard ! Ses mains s’enfoncent un peu plus dans mon derme, laisseront des marques sans qu’il n’y travaille plus que de raison ; drogue, manque de sommeil et d’alimentation ne manquent pas de donner des raisons à mon corps de se tâcher de rose ou de bleus. Ma supplique n’est pas assez forte pour qu’il daigne donner du sien, préfère guider ses doigts sur les mêmes lèvres qui le remerciaient quelques minutes plus tôt.
La respiration devient plus difficile, juste assez pour le filet d’air qui permettra de me tenir en vie, assez pour que toutes les sensations de mon bas-ventre montent jusqu’à mes tempes. Je sens mon corps s’enfoncer sans peine dans le canapé, l’oreille avertie que je n’ai pas usé des bons mots, le rouge grimpe immédiatement aux joues, encore surprise par la cruauté de ses mots. Sans jamais aucune animosité il m’a toujours rappelé ma place, mais je ne suis jamais bien certaine de savoir ce qu’il en pense réellement. Pourtant aujourd’hui aucune réponse cinglante ne sort de mes lèvres, j’ai promis que ce soir il pourrait faire ce qu’il veut de moi, si c’est le jeu qu’il veut jouer, je n’ai rien à redire, au contraire.

Il donne l’impression de donner ce que j’ai demandé, mais il n’en est rien, il ne cesse pas pour autant de me faire languir, fait glisser le membre entre le dernier bout de tissu sur mon corps et mon entrejambe encore humide de son passage précédent avec ses doigts. J’arque le dos, tente d’obtenir un peu plus de sensation qu’il n’a réellement décidé de m’offrir pour l’instant et il sait que j’en ai envie, c’est probablement ça le pire.
Le sourire qu’il affiche m’indique tout de suite là où il veut en venir, avant même que les mots ne soient crachés de sa bouche, il n’est pas prêt à renoncer à se faire supplier. Foutu égo masculin. Ma main se convie aux pulsions intimes communes, mes paupières s’alourdissent irrémédiablement, mais je réussis tout de même à le tenir en vue.

— S’il te plaît Félix, j’ai envie de toi. La sénestre vient s’agripper à la sienne, celle qui retient l’étincelle de vie dans ma gorge, l’aide doucement à enserrer cette dernière. Fais-moi ce que tu sais faire de mieux, fais-moi mal.
(c) chaton de la lune



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